 Ces enfants peuvent être nés, comme Mohamed Tahar, en 1932 |
Classe de M. DALICHAOUCH Tahar
— Photo collection familiale personnelle : Seddik DJEMAI —
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Pour lui écrire, cliquez sur l'ardoise, car, il s'agit de la belle-famille de notre ami.
Rang du fond de g à d
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1 : Mohamed Tahar ABERKANE 2 :
3 : 4 :
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5 : 6 :
7 : 8 : 9 :
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10 :
11 : 12 : 13 : 14 :
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Milieu Haut de g à d
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1 : 2 :
3 : 4 : 5 :
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6 : 7 : 8 :
9 : 10 :
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11 : 12 :
13 : 14 : 15 :
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Milieu Bas, assis de g à d
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1 :
2 : 3 : 4 :
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5 :
6 : 7 : 8 :
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9 :
10 : 11 :
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Devant, assis tailleur de g à d
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1 : 2:
3 :
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4 : 5 :
6 :
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7 : 8 :
9 : 10 :
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Pas beaucoup de noms, nous comptons sur vous pour continuer de remplir les lignes, Ecrivez-nous..
M. Djemai nous a envoyé cette photo en l'appelant : "école maternelle" ; je crois qu'effectivement, il y avait à Djidjelli, une école maternelle.. mais où ?
ou bien des classes maternelles à l'intérieur d'un groupe de primaire.. Cependant, je ne crois pas qu'il s'agisse de cela.. Remettons nous dans le contexte de l'école des années 30-40, avant la refonte de l'enseignement en 1948.
A cette époque, les enfants qui n'avaient pas le français comme langue maternelle, faisaient une classe dite d'initiation - comprenez à la langue française - Ces classes étaient prises en main si possible, par des enseignants
sortant de l'école normale de Bouzarea, et possédant bien l'arabe ; Mr. R. Saramite l'a très bien présenté dans mon tome 2 de Djidjelli au coeur des Babors. Cette méthode, malgré le nombre important d'enfants, a donné des générations
maitrisant parfaitement le français ; on peut regretter que nos ministres actuels de l'education nationale, ne prennent pas exemple sur ces anciennes méthodes..! Suzette Granger